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Gandahar 21 Jean-Pierre Andrevon, apocalypses

Illustration de couverture Séverine Pineaux

Sommaire

 

Éditorial de Jean-Pierre Fontana

Mon ami Jean-Pierre de George Barlow

La princesse si laide (une aventure de Sylvin Lanvère) de JPA

 La dernière génération de Miriam Allen DeFord 

Presque déjà la fin de JPA

La dérive de JPA

Les rats de JPA

Le dernier dinosaure de JPA

La peau d'un chien et les yeux d'une femme de JPA

Ceux qui restent dans l'ombre de Bruno Pochesci

Index des numéros 11 à 20

Perles de l'Imaginaire de Fr. Z. Jammes et Chr. Brignon

Nous avons reçu de JP Fontana et Chr. Brignon

 

De plus, 18 dessins de Jean-Pierre Andrevon dont 15 pleine page et 1 double page émaillent ce numéro.

 

Éditorial

 

    Lorsque, un beau jour de l’an 2014, germa l’idée d’enfanter la revue Gandahar, il fut évident à ceux qui participèrent aux prémices, et le nom une fois choisi, que deux parrains s’imposaient pour porter le futur bébé sur les fonts baptismaux : Philippe Caza et Jean-Pierre Andrevon. Pour ceux (rarissimes) qui n’en devineraient pas la raison, qu’ils consultent, par exemple, la filmographie du premier et la bibliographie du second. Il était donc temps, puisque l’enfant a grandi depuis et vient d’atteindre, non ses vingt-et-un printemps mais son vingt-et-unième numéro, que l’un d’eux soit enfin honoré. Pour l’autre, nous y songeons, un trimestre à venir peut-être…

    S’il est en tous cas une exception, un cas unique dirais-je, dans le monde actuel des imaginaires, c’est bien Jean-Pierre Andrevon que son ami George Barlow évoquera plus loin. Nul autre en effet que l’auteur du roman (adapté en dessin animé) dont nous avons emprunté le titre ne peut se prévaloir d’un semblable “palmarès”. Pierre Pelot, que nous aimons bien, s’en approche peut-être, si l’on considère le seul domaine de la littérature, où les deux noms figurent dans la presque totalité des “genres” : de la science-fiction au polar, en passant par le fantastique, la fantasy, l’érotisme, l’horreur, l’aventure, le thriller... Mais seul Jean-Pierre Andrevon peut s’enorgueillir, même s’il ne le proclame pas, de réussites aussi diverses : la peinture, le dessin (humoristique ou satirique de préférence), la chanson (paroles, musique et interprétation) et jusqu’au cinéma comme historien, critique et réalisateur de courts métrages. Sans oublier l’amour des chats et bien d’autres qualités que je me sens coupable de ne pas énumérer ici, mais il me faut faire court.

    Aussi est-ce un honneur pour Christine Brignon et pour moi-même ainsi que pour tous les membres de notre petite association de lui consacrer cette bien modeste reconnaissance à travers quelques aspects de ses écrits, en particulier ses visions du futur, et à nos lecteurs de leur donner l’occasion de retrouver ou de découvrir quelques facettes de son immense talent.

Merci Jean-Pierre.

 

Jean-Pierre Fontana

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