La revue Gandahar évolue : 140 pages au lieu de 120 et deux rubriques de lectures : "Perles de l'Imaginaire" et "Nous avons reçu".
Ce numéro 15 de Noël comporte 8 pages couleurs et une nouvelle de Robert F Young inédite en français.
La revue est à 11 €, frais de port compris et 36 € l'abonnement.
Les frais d'imprimeur, de la Poste et par conséquent de la revue Gandahar seront augmentés en janvier. N'attendez pas pour vous abonner ou vous réabonner. C'est une très belle revue.
Illustration de couverture Liba Waring Stambollion
Sommaire
Robert F Young « La fenêtre magique » (inédit en français)
Wilfried Renaut « Petite chose »
Sarah Delysle « Tout feu tout flamme »
Alain Rozenbaum « Turbodarwin »
Arnauld Pontier « Pièce maîtresse »
Sophie Portalière « Cryobot »
Martine Hermant « La leçon »
Nicolas Cengarle « Bestioles »
Mila Solal « Ultra violet »
Christophe Garreau « Contact for Hope »
Denis Coëdel « Les épices de la terre promise »
Tarik Kellou « Sombre était la nuit, froide était la terre »
Ch Brignon, S Calteau, FZ Jammes « Perles de l'Imaginaire »
Ch Brignon, S Calteau, JP Fontana « Nous avons reçu »
ÉDITORIAL
Dix-neuvième livraison de Gandahar, ce numéro 15, transcendé par la fantastique couverture de notre amie Liba, s’ouvre avec une nouvelle de notre non moins aimé Robert F. Young. La créature qu’il présente relève du délicat domaine de l’éphémère. Un peu plus loin, « La leçon » de Martine Hermant s’inscrira dans le même registre léger.
Les créatures auxquelles nous serons confrontés au cours de notre lecture de ces récits vont se révéler d’une étrangeté parfaitement inhumaine dans « Ultra violet » de Mila Solal, « Cryobot » de Sophie Portalière ou « Bestioles » de Nicolas Cengarle.
Dans « Turbodarwin » d’Alain Rozenbaum, « Tout feu tout flamme » de Sarah Delysle et « Pièce maîtresse » d'Arnauld Pontier leur supériorité n’a pas d’état d’âme alors qu’elle se montre bienveillante dans « Petite chose » de Wilfried Renaut.
La séduction de l’autre, différent, se fait troublante et charnelle dans « Les épices de la terre promise » de Denis Coëdel.
« Contact for Hope » de Christophe Garreau illustre la quête désespérée d’une civilisation qui refuse d’être seule dans l’espace, et enfin Tarik Kellou, dans « Noire était la nuit, froide était la terre », nous emmène dans une tentative de communication avec une race extraterrestre et vient clôturer ce recueil dans une apothéose de toute beauté.
Laissons ici nos certitudes et embarquons-nous dans l’imaginaire de ces talentueux auteurs vers des rencontres qui n’auront de cesse que de nous surprendre.
Bonne lecture !
Christine Brignon
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